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25 mars 2015

Aspects pratiques Miami



Le climat (août)


Étant donné que c'était censé être la saison des ouragans, je dois dire que j'appréhendais un peu...(on a le chic pour partir pile quand il y a un risque de cyclones et compagnie, cf l'ïle Maurice!) Finalement on a eu un temps magnifique, il a juste plu un peu dans le parc national des Everglades. Le reste c'était nickel: un soleil rayonnant, un ciel bleu à tomber et une chaleur largement supportable. Quant à la température de l'eau elle était super chaude, un vrai kiff de se baigner :p

 Les beaux drapeaux qui claquent sous le soleil


Les transports

Je n'aurais jamais imaginé qu'on galèrerait autant avec la location de véhicules...D'abord en ce qui concerne les scooters, il n'y a que des pauvres trucs pour kékés (pas plus de 60 km/h, juste bons pour frimer sur Ocean Drive). Nous qui pensions nous en servir pour vadrouiller jusque dans les Everglades, on a vite déchanté...Ensuite pour ce qui est de la voiture, il est impératif de réserver à l'avance! On a écumé les loueurs pendant une matinée et une après-midi complètes sans le moindre succès et je peux vous dire qu'on a rencontré plusieurs personnes dans le même cas que nous...

Miami est desservie par un réseau de bus qui est pas mal mais les distances sont vraiment grandes, donc on perd du temps. Par contre de Downtown c'est simple d'aller à Miami Beach car plusieurs bus s'y rendent et il y en a assez régulièrement; comptez une demi-heure environ. Nous on y allait avec le scooter à kéké, c'était un peu flippant d'emprunter le highway avec mais on a survécu!

Je radote mais pour info, le bus 150 vous conduit directement à Miami Beach depuis l'aéroport pour quelques dollars ; comptez une heure. C'est très pratique si vous avez une escale un peu longue, c'est ce qu'on a fait en rentrant des Bahamas en attendant notre vol pour Paris. Bon le sable et le sel pendant les douze heures d'avion c'était un peu moins cool mais au moins on a profité jusqu'au bout!



Les gens

Comme déjà mentionné, j'ai été un peu déçue de ne pas voir tant de silicone que ça! Par contre les muscles gonflés à la prot, vous pourrez en admirer en veux-tu en-voilà (j'avais l'impression de rencontrer partout des répliques des mecs de mon club de mma, enfin en légèrement plus bronzés et moins abîmés quand même :p). South Beach est très différente la semaine (ambiance tranquille assez familiale) du week-end (c'est là que vous pourrez admirer les plus beaux spécimens!). L'avantage c'est qu'on ressent beaucoup de liberté; libre à vous de déambuler avec votre mini-robe ultra moulante rose fluo que vous n'avez jamais osée sortir du placard, là personne ne vous fera de réflexion désobligeante. Idem pour les tatouages, même les grosses pièces passent inaperçues, ça fait du bien.

Il y a une vraie diversité culturelle (communautés portoricaines, cubaines, jamaïcaines, etc.) à découvrir en déambulant dans les quartiers. J'ai été assez surprise des extrêmes en termes d'attitudes envers les touristes: la plupart des gens sont chaleureux et sympas comme tout, mais les cons sont vraiment ultra cons et désagréables.

Des pots et des pots de protéines à tous les coins de rue; 
Miami ou le royaume de la gonflette...


Notre appart

On a loué ce superbe studio sur Abritel (en plein sur Biscayne avenue dans Downtown), pour 400 euros la semaine. Et vu qu'il y a eu quelques problèmes avec le ménage, le sympathique et très commerçant propriétaire Jean-Charles nous a remboursé la moitié, donc ça nous est revenu à 200 euros, pas mal! Non seulement il était bien situé mais de surcroît ensoleillé, avec une vue complètement dégagée et dans une tour très classe. Il y avait une salle de sport mais surtout une magnifique piscine où l'on pouvait se détendre et piquer une tête après avoir vadrouillé la journée. Le bonheur...




La vue le soir
The piscine



La nourriture

A Downtown il y a plein de lieux sympas pour manger et boire un verre. Pour le midi si vous n'avez pas envie de vous poser, il y a pas mal de stands de rue (ouverts 24h/24) tenus par des Portoricains et qui proposent de la nourriture rapide (mais bonne). J'y ai fait une cure de jus d'orange, les oranges de Floride n'ont pas volé leur réputation elles sont exquises! 

Un conseil, fuyez Bayside Market Place, attrape-touristes au possible où vous mangerez mal et cher. Je vous indique un seul restaurant qui restera gravé dans ma mémoire: le Sparky's Roadside BBQ (204 Northeast 1st Street). Bon pourtant je ne mange quasiment pas de viande mais pour le coup j'y ai dégusté le meilleur poulet de ma vie, une véritable tuerie! Tout est fait maison, de la marinade aux sauces en passant par les frites, et ça se sent! C'est incroyablement bon, j'en garde un souvenir impérissable (le burger végétarien est terrible aussi apparemment). 




Miami sans gluten et sans lactose

Comme d'habitude j'avais emporté tout ce qu'il fallait pour me faire mes petits-déjeuners sur place. Je n'ai pas trop galéré pour me nourrir, d'autant qu'ils sont plutôt au taquet sur les intolérances et assez compréhensifs. Difficile de manger végétarien comme j'en ai l'habitude, du coup j'ai consommé pas mal de poulet grillé et de crevettes. A Downtown il y avait nombre de primeurs où j'ai pu acheter des fruits (très bons au demeurant, je garde un souvenir ému d'une pastèque sucrée à souhait^^).

Pour faire les courses il y a des supérettes (Pharmacy, au début on n'avait pas compris ce que c'était!) mais on n'y trouve pas grand-chose. Le chocolat sans lactose on oublie, j'avais bien fait d'emmener mes tablettes...

Plat de riz, crevettes et bananes plantins à Little Havana


17 mars 2015

Les Everglades



Les Everglades je m'en faisais une grande joie. Déjà parce que dès qu'il y a une occasion de vadrouiller dans la nature je suis partante; mais aussi parce que j'avais vu et lu quantité de trucs dessus, donc j'avais hâte de me rendre compte par moi-même de quoi il retournait. Tout était prévu; après avoir épluché le guide et différents blogs, on s'était fixés pour aller à la pointe sud du parc national. 

Initialement on voulait s'y rendre en scooter. Seulement voilà, impossible de trouver un scooter digne de ce nom à Miami, rien que des jouets pour kékés qui ne dépassent pas le 60km/h! (les gens s'en servent pour flâner à Miami Beach) On s'est donc rabattus sur l'idée de louer une voiture. Eh bien croyez-le ou non, les Etats-Unis ont beau être le pays de la voiture, aucun véhicule de disponible dans la bonne dizaine de loueurs chez qui on s'est rendus! (et je peux vous dire qu'on n'était pas les seuls dans cette situation. Première fois de ma vie que ça m'arrive!). Après s'être enfilés des kilomètres et des kilomètres de rue en plein cagnard, avoir attendu pour rien pendant des heures, au comble de l'énervement on doit se résoudre à l'idée que les Everglades, on n'y ira pas par nos propres moyens.

Alors là j'avais les boules! On décide d'aller se renseigner aux petits kiosques pour touristes qui vendent des tas d'excursions. Ils nous dégotent un truc tout compris, mais je renâcle à mort et sors le grand jeu de la vadrouilleuse outrée d'avoir à frayer avec le commun des touristes. Non non non, je préfère encore ne pas y aller que de me taper le car et de visiter en dix minutes top chrono et à la queue leu leu ce lieu magnifique, et patati et patata. Après un bon quart d'heure de tractations paf, me voilà avec mon billet à la main à attendre gentiment comme tout le monde qu'on nous embarque.



On arrive à l'embarcadère où on monte dans les fameux bateaux à fond plat et à hélice. Ca fait un bruit de folie dès que le moteur tourne, heureusement qu'ils distribuent des boules quiès! Pour le coup on finirait sourdingues...




La balade commence et pour le coup je ne regrette pas de m'être laissée convaincre par Simon. C'est une sensation unique, on a l'impression de voler littéralement sur l'herbe. Difficile à décrire, mais en tous les cas je n'avais encore jamais vécu cette sensation de glissement, surtout quand le bateau tourne ou fait demi-tour. Un ravissement...





On ne verra malheureusement pas beaucoup d'animaux, juste une tortue à nez long et un petit alligator. Tant pis, on profite des magnifiques paysages. Deux petits conseils cependant: prévoyez la crème solaire car ça tape un  truc de malade (et pourtant on a commencé la balade sous la pluie), et couvrez-vous à cause des moustiques (malgré le répulsif je me suis fait bouffer).









Après la promenade en bateau (bien trop courte à mon goût; c'est quand même le point fort des Everglades) on assiste à une démonstration d'animaux -j'ai réussi à garder mon calme- puis balade dans une sorte de jardin aménagé, le citron à la main pour arroser mes piqûres de moustiques qui gonflaient à vue d’œil...La combinaison n'aurait pas été de trop, j'ai fini par courir me réfugier dans la boutique, poursuivie par une horde de moustiques affamés.

J'ai vraiment été déçue de visiter ce lieu exceptionnel en deux heures top chrono...Avec les excursions tout compris ils vous emmènent au point d'entrée du parc le plus proche de la ville et vous torchent le truc vite fait; on n'a pas le temps de profiter de la faune et de la flore. Je pense que ça vaut largement le coup de pousser plus au sud jusqu'à Flamingo et d'y passer la journée comme ce qu'on avait initialement prévu. Enfin ce sera pour une prochaine fois!

Pour finir: les immanquables aspects pratiques

5 mars 2015

Little Haïti, Little Havana & Coconut Grove


Des fois c'est à se demander si les rédacteurs de guides (en l'occurrence le National Geographic) prennent vraiment la peine d'aller visiter les coins dont ils parlent...Quand on lit à propos de Little Haïti: "un quartier fascinant avec ses enseignes peintes à la main, ses femmes vêtues de chapeaux de paille et de belles blouses, et les vieilles maisons en bois aux couleurs vives", on peut légitimement s'attendre à quelque chose de sympa. A vrai dire on avait déjà quelques doutes quand la fille à qui on a loué le scooter a ouvert des yeux ronds et s'est écriée que c'était dangereux d'y aller. Allons bon, deux baroudeurs ayant traîné dans nombre de coins mal famés d'Asie, c'est pas un petit quartier de Miami qui pourrait les effrayer!

Mouais...Pour faire bref Litte Haïti est un quartier pauvre où il n'y a rien de très pittoresque -au sens du guide- à voir. C'est une succession d'immenses avenues bordées de maisons délabrées et tristes; la zone quoi. On a donc zoné un peu mais j'avais surtout l'impression de jouer les voyeurs. Pile au moment où on décide d'un commun accord de mettre les voiles, le scooter tombe en rade...Bon, on décide de le laisser respirer un peu (ça cognait grave) et comme un fait exprès débouche dans notre rue une grosse voiture noire aux vitres teintées, musique rap et basses à fond. Mouahaha la coïncidence! Enfin sur le coup on a un peu serré les fesses quand même, heureusement qu'on payait pas de mine avec nos vieilles fringues de vadrouille...La voiture est passée au ralenti à côté de nous et quelques minutes plus tard on a pu repartir.

Cap ensuite sur Litte Havana. Là aussi le National Geographic laissait présager une balade haute en couleurs, odeurs et musique. On est certes loin des petites rues typiques (je crois que je ne pourrais jamais me faire à l'immensité de l'espace urbain américain!), mais on a quand même aimé se balader dans Calle Ocho (grosse déception par contre car on n'a pas trouvé la boulangerie El Brazio Fuerte dont le guide vantait les superbes pâtisseries...Même si je ne peux plus goûter j'aime toujours admirer! :p)




 

Au Maximo Gomez Park, on peut assister à d'endiablées parties de dominos. On y trouve là de vieux messieurs qui tolèrent gentiment la présence des touristes envahissants; certains prennent même la pose! Personnellement j'ai toujours un peu de mal avec les portraits, mais là je me suis sentie assez à l'aise pour déambuler parmi les joueurs et les photographier. L'un d'entre eux a même engagé la discussion avec moi et je lui ai dit que j'étais son porte-bonheur pour la partie, ça a fait rire toute la table hihi!




 Concentration...
 Mon vieux monsieur sympathique; je trouve qu'il avait un air de Bilbon Sacquet!!


On a mangé dans un petit resto qui ne payait pas de mine (ça faisait cantine) mais qui s'est révélé excellent. En général il vaut mieux se fier à la clientèle: pas de touristes, que des gens du quartier. Il y avait plein de spécialités cubaines, j'ai choisi un riz avec des crevettes et des bananes plantins, c'était super bon! L'avantage de ce genre d'endroit c'est que vous trouvez là plein d'habitués; c'est donc de très bonnes places pour faire un peu d'observation de la vie quotidienne (le vieux réflexe de socio-anthropologue! :p)



Par rapport à Litte Havana, Coconut Grove promet un sacré changement de décor! C'est en effet le quartier chic de Miami. Il abrite de nombreuses résidences de luxe bordées de superbes pelouses qui feraient pâlir de jalousie un Anglais! Certaines maisons sont extravagantes et valent le coup d’œil. On y a flâné en scooter, s'attirant d'ailleurs les regards soupçonneux des conducteurs de hamers qui sont légion dans le coin (saletés de voitures polluantes grrr...)


Visez la Ferrari garée devant la maison!
 C'est agréable de se promener car les rues sont très vertes
La marina  


Après une journée comme celle-là, quoi de mieux que de se prélasser dans notre magnifique piscine :p Elle était vraiment superbe, spacieuse, bordée de cocotiers et dotée d'une vue dégagée sur les buildings environnants; un vrai kiff que de piquer une tête en rentrant le soir...



A suivre: comment, contraints et forcés, on a visité les Everglades dans un car à toutous!!

23 janv. 2015

South Beach



South Beach, voilà bien un univers où, en toute bonne foi, je n'aurais jamais imaginé mettre un jour les pieds! Donc j'étais à la fois curieuse et perplexe lorsqu'on s'y est rendus pour la première fois (il y a plein de bus qui y vont depuis Downtown; comptez une vingtaine de minutes depuis Bayside Marketplace. Pour info, le bus 150 vous y conduit directement depuis l'aéroport pour quelques dollars ; comptez une heure. C'est très pratique si vous avez une escale un peu longue, c'est ce qu'on a fait en rentrant des Bahamas en attendant notre vol pour Paris. Bon le sable et le sel pendant les douze heures d'avion c'était un peu moins cool mais au moins on a profité jusqu'au bout!).

Un peu bêtement je guettais les bombes siliconées qui étaient sensées hanter les lieux; mais en fait de bombes il y avait des gens tout ce qu'il y a de plus normal; certes un peu plus musclés-bronzés-décolletés-échancrés que la moyenne, mais rien d'extraordinaire non plus. Une précision s'impose: South Beach mérite sa réputation le week-end, pas la semaine. L'ambiance y est alors très différente, les gens y viennent pour parader et se lorgner les uns les autres, ça crie (enfin surtout les jeunes alcoolisés), ça s'exhibe (certaines filles se baladent en string dans les rues et dans les magasins, assez hallucinant et pourtant vu mes recherches on ne peut pas vraiment dire que j'ai les yeux et les oreilles chastes huhu), ça met du gros son et ça abuse du soleil. Pas trop ma tasse de thé tout ça, mais somme toute c'était assez intéressant; et si vous êtes photographe il y a des drôles de scènes à immortaliser. La semaine en revanche c'est beaucoup plus détente et familial. En tous les cas je dois reconnaître que pour une fois je n'ai pas eu l'impression d'être dévisagée comme Zizou la girafe à cause de mes muscles et de mon tatouage, je faisais couleur locale!


Les mecs sont gavés aux protéines, on en trouve absolument partout...
On a assisté à des scènes vraiment cocasses de jaugeage mutels de pecs!
 Ca laisse rêveur...Je crois qu'aucune boutique ne devait avoir ma taille :p


Bref, on descend du bus et boum le hasard, on tombe sur une salle d'entraînement de boxe. On n'a pas pu s'empêcher d'aller y faire un petit tour, ah le bruit des frappes sur les sacs et la bonne vieille odeur de sueur...


Miami Beach est vraiment immense et l'eau est d'un bleu superbe, incroyablement chaude de surcroît. Il y a pas mal de monde jusqu'à la tombée de la nuit, mais vu son étendue c'est tout-à-fait supportable. On y a surtout beaucoup couru (facilement deux heures à chaque fois), mais l'inconvénient c'est que c'est dur de le faire les pieds dans l'eau: il y a du monde, on s'enfonce et il n'y a qu'une petite bande entre l'eau et le sable mou. Néanmoins on n'avait pas envie de courir en arrière-plan comme tout le monde le faisait, d'une part à cause de la chaleur (ça cogne grave et il n'y a aucun vent), mais aussi parce qu'il aurait fallu mettre des baskets (et c'est quand même dommage sur une plage...).


Les emblématiques postes de sauveteurs





Un matin qu'on faisait notre footing, on voit un attroupement de gens. Intrigués, on aperçoit dans l'eau une espèce de grosse masse grise-noire qui se balance doucement. Sur le coup j'ai pensé à des algues ou à une baleine échouée, mais quand même ça semblait différent....Et d'un coup je me suis rendue compte que c'était un troupeau de lamantins!! Une dizaine! Je suis une fan inconditionnelle de cet animal, je craque totalement...J'avais eu la chance d'en voir en Asie, notamment à Okinawa, mais jamais dans leur habitat naturel. Putain des lamantins sauvages à quelques mètres quoi!! Ils ont fini par se disperser, néanmoins ils restaient aux abords de la plage, filant comme des fusées sous l'eau. Alors là je ne pouvais pas rater ça! Je me poste assez loin dans l'eau, attendant leur passage. Ca n'a pas loupé, une énorme masse fonce sur nous et passe à moins d'un mètre, je crois défaillir de bonheur...En fait les lamantins sont très joueurs et adore venir voir les baigneurs, c'est impressionnant du fait de leur taille mais ils sont complètement inoffensifs. Rien que pour ça, ce voyage à Miami valait le coup ^^

Si ces adorables grosses bêtes vous laissent de marbre, vous serez peut-être plus sensible au charme des belles cylindrées. On peut en admirer de fameuses devant le Marlin Hotel, notamment cette magnifique Thunderbird rose.





 


South Beach possède un véritable trésor que constituent les nombreux édifices Art Deco (plus de 800 selon le National Geographic!). Pour les admirer, le mieux est de flâner sur Collins Avenue et Wahsington avenue en scooter (ou à pied, mais elles sont longues). Le jour où on a pris les photos -en fin d'après-midi- on était partis uniquement avec nos affaires de plage puisqu'on projetait de se faire une petite trempette. Seulement le ciel était d'un bleu intense, vraiment magnifique; même à la montagne j'ai rarement vu une couleur pareil....A un feu rouge on échange un regard et on a la même pensée "C'est trop con!". Alors zou, on remballe à fond la caisse jusqu'à l'appartement pour prendre nos appareils et on refait le trajet en sens inverse pour profiter de ces conditions exceptionnelles. Bien nous en a pris, on n'a plus jamais eu de ciel comme ça les jours suivants!





 





A suivre:  comment on s'est retrouvés en rade dans le quartier le plus craignos de Miami, face à une grosse caisse de rappeur aux vitres teintées zonant au ralenti!