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29 mars 2014

Aspects pratiques Île Maurice



Le climat (décembre-janvier)

Jusqu'à l'arrivée du cyclone, il a fait super beau et chaud. Et même si le soleil cogne, la chaleur n'est pas étouffante car il y a beaucoup de vent sur les côtes. Par contre dans l'appart on était bien contents d'avoir la clim et le ventilo pour pouvoir s'endormir tranquillement (on coupait en pleine nuit). Les cyclones sont apparemment très rares à Maurice, ça a été un coup de malchance...Heureusement il était faible, donc on a juste eu de très grosses averses et des rafales de vent pendant une journée et une nuit complètes. Après ça, le temps était plus incertain : il y avait des belles éclaircies entrecoupées d'averses, ou bien c'était nuageux.

Ah ce ciel bleu...


La conduite et le scooter

En période de nouvel an, il ne restait plus une seule voiture de disponible! Au final ça a été un mal pour un bien car on s'est éclatés avec le scooter. Ils ne les brident pas donc vous pouvez pousser facile à 110km/h sur l'autoroute. Par contre niveau sécurité c'est pas trop ça, les casques sont pourris; j'étais obligée de remettre le mien en place sans arrêt tant il partait en arrière...Et puis comme c'est chiant de devoir enfiler un jean sur le short, je ne le faisais que sur les grandes distances...A partir du 1er janvier ils ont imposé le port du gilet jaune fluo jour et nuit, c'est du plus bel effet! (et vous êtes arrêté systématiquement si vous ne portez pas votre habit de lumière!).

Point de vue distance, on a tout fait en scooter. Les grandes routes sont très bonnes, les petites ont pas mal de nids-de-poule mais ça va. Globalement les gens conduisent assez bien, mais quand vous êtes en scooter vous avez l'impression de ne pas vraiment exister : on vous frôle et on vous colle sur les ronds-points, ça peut être assez effrayant. Il n'y a qu'une fois où j'ai vraiment flippé, c'était le jour du nouvel an et des abrutis ont eu la bonne idée de nous balancer des pétards à plus de 100km/h!!

Ne vous fiez pas aux forums où on peut lire qu'il faut être suicidaire pour louer un deux-roues, c'est faux (pour ceux qui connaissent, la conduite à Maurice m'a fait penser à celle dans le Sabah au nord de Bornéo). C'est sûr qu'on aurait carrément préféré louer une moto mais on n'a pas trouvé (peut-être en demandant directement à des particuliers? Une grande part des Mauriciens circule en effet à moto). Il y avait juste des Harley-Davidson disponibles à la location, mais à 200 euros la journée ça aurait légèrement explosé le budget!



Les gens

Dans l'ensemble on a trouvé les Mauriciens absolument charmants. Même si la pauvreté se sent, on n'a pas eu l'impression d'être des porte-monnaie. A Grand Baie on se fait un peu arnaquer dans les paillotes le long de la plage (ils pratiquent le double prix : local et étranger); mais ce n'est pas bien grave. Presque tout le monde parle couramment français (pour info, la langue officielle est l'anglais). On a beaucoup sympathisé avec un petit jeune qui tenait une échoppe de restauration rapide; il nous a raconté tout plein de choses sur sa vie et sur son pays en buvant des coups, c'était vraiment intéressant et sympathique. 

Je savais que Maurice était un melting pot mais j'ai été surprise de la prégnance de l'hindouisme et de la culture indienne, ceux-ci représentant près de 70% des habitants! Il y a d'ailleurs 150 temples sur l'île. Les chrétiens constituent un quart de la population et les musulmans 16%. Il y a aussi une communauté chinoise. Je trouve que Maurice est un bel exemple de coexistence religieuse pacifique. On sent un réel respect, et de l'avis même des habitants il n'y a que peu de tension entre les différents groupes. On l'observe d'ailleurs au travers de la disposition géographique des lieux de cultes puisque temples, églises et mosquées sont à quelques pas les uns des autres.



Le nouvel an

A Grand Baie, l'on fête le nouvel an comme il se doit. Tout le monde s'habille, les restos proposent des menus spéciaux (il faut réserver à l'avance dans les plus cotés) et il y a un feu d'artifice à minuit. On a mangé les pieds dans le sable dans une petite paillote, mais finalement ce n'était pas terrible. J'avoue que je ne garde pas un super souvenir, mais c'est parce que je déteste ce type d'ambiance. Jusqu'à ce que ma grand-mère adorée ne nous quitte, je le fêtais avec elle et Fabien au fin fond de la Creuse où il n'y avait pas l'ombre d'un pétard. Donc là avec les gens alcoolisés qui hurlaient et les pétards de partout (j'étais terrorisée, je n'en ai jamais entendu d'aussi gros de ma vie), je ne me sentais pas super bien et j'étais soulagée de rentrer à la maison. Oui je sais, je suis une vielle rabat-joie, j'assume...


Les plages et les randos

Sans surprise, les plus belles plages (Mont Choisy, Trou aux Biches, Flic en Flac...) sont prises d'assaut par les touristes. Néanmoins c'est sympa d'y faire du footing tôt le matin et accessoirement de profiter ensuite des installations des hôtels (transats, etc.). On trouve de mignonnes petites plages bien moins fréquentées un peu partout, il suffit de se balader.

Les randos c'est une autre histoire! J'ai été déçue car il y a des coins absolument magnifiques mais ils n'ont pas vraiment développé cette activité : soit il n'y a pas de trails, soit ils souffrent d'une absence quasi totale de balisage. C'est franchement dommage...On a quand même kiffé notre rando dans les cascades de Tamarin, mais vu comme on a galéré on n'a pas réitéré l'expérience dans le parc national des gorges de Rivière Noire (d'autant que le Lonely spécifiait que les chemins étaient mal indiqués). En tous les cas, équipez-vous de bonnes chaussures car le terrain en forêt est glissant (franchement boueux par temps de pluie) et prévoyez un bon répulsif anti-moustiques.



Notre appart

Bien loin des complexes hôteliers super chics, notre petit appart (Villa O'soleil appartments) ne payait pas de mine et pourtant on l'a adoré! Déjà il était situé dans un petit quartier excentré de Grand Baie qui faisait village de pêcheurs, donc avec très peu de touristes et à deux pas d'une adorable petite plage quasi déserte (footing tous les matins, j'y ai pas coupé!). La plupart des résidents étaient mauriciens. Les gérants sont absolument adorables, ils nous ont accueillis à bras ouverts.

Bon après c'est sûr qu'il ne faut pas y aller pour le luxe, la baignoire qui servait de piscine faisait toute délabrée (on a pas mal discuté avec le type chargé de l'entretien et il nous a limite déconseillé de nous y baigner lol) et c'était sommaire, mais l'appart était spacieux, la literie confortable et la salle-de-bain très agréable. En plus il y avait une station service et un centre commercial super sympa à quelques minutes à pieds (avec des cafés-restos en terrasse), donc parfait pour faire le plein, les courses et boire un verre. Que demande le peuple...

La vue sympa sur sur un champ de canne à sucre
 On est loin du 5 étoiles :p
 La déco très colorée, kitsch mais au moins c'était gai!


La nourriture et les restos

La nourriture mauricienne est franchement délicieuse, on s'est régalés! Il y a beaucoup de mix entre les saveurs indiennes et créoles, je vous laisse imaginer le résultat...On trouve aussi pas mal de cuisine chinoise. Les plats typiques sont le vindaye et le rougail, qui piquent juste ce qu'il faut. Les aliments de base sont le poulet, les fruits de mer (mention spéciale au poulpe, miam miam), les poissons, le riz et les nouilles.

On trouve aussi beaucoup de grillades. On n'a pas goûté les fameuses langoustes car ça coûtait vraiment une blinde et surtout parce qu'elles n'étaient proposées que dans les restos (et pas dans les petits stands de grillades qu'on trouve un peu partout, notamment près des plages). On mange très bien pour quelques euros dans les échoppes, d'autant que la nourriture servie est fraîche.

Je vous déconseille les restos "pour Occidentaux", genre en bord de plage et qui font assez classe. Le cadre est sympa comme tout mais la nourriture y est moyenne et chère. Pour info le restaurant "Le rougail" (à Grand Baie) est une arnaque, on a attendu trois plombes (apparemment il y avait un problème de personnel en cuisine ce soir-là mais c'était vraiment abusé) pour des plats corrects après lesquels on avait encore faim (j'avoue qu'en tant que boxeurs on a coutume de s'enfiler des bonnes plâtrées, mais quand même!). Mention spéciale en revanche à "La terrasse", fin et copieux où on a mangé deux fois (seuls bémols, il est en bord de route et comme il est conseillé dans le Lonely il n'y avait quasiment que des Occidentaux).

Les ananas qu'on déguste comme une bonne glace


L'île Maurice sans gluten et sans lactose

Je vais de mieux en mieux au niveau de mes intolérances (j'ai réintroduit plein de trucs comme les tomates, le melon, le tofu, les épices, etc. que je digère maintenant sans problème, sûrement car mon intestin a pu se réparer faute d'agressions perpétuelles ces dernières années) donc j'ai pu me faire plaisir. Pour le coup j'ai vraiment eu l'impression d'être -quasi- comme tout le monde, c'était trop cool :)

En ce qui concerne le gluten, c'est avant tout des bains de friture qu'il faudra vous méfier pour éviter les contaminations croisées (ils servent pas mal de samossas). Pour info, les "mines" désignent les nouilles (à base de blé). Comme ils utilisent beaucoup d'aliments frais, on n'a pas trop à se soucier des dérivés (glucose, maltodextrine et compagnie). Pour le lactose il n'y a que la cuisine indienne pour laquelle il vaut mieux demander des précisions, de nombreux plats contenant en effet du ghee (beurre clarifié). 

Je n'ai eu aucune difficulté à manger (heureusement car je n'avais même pas trimballé mes boîtes de thon de survie!); de toute façon on trouve beaucoup de riz et de grillades -poulet, fruits de mer- tel que mentionné précédemment. Comme d'hab il n'y a que pour le petit-déjeuner que ça coince, mais vu qu'on avait l'appartement je me suis préparée mes propres trucs à partir des ingrédients que j'avais ramenés de Paris (en général je réalise des choses simples dont je connais les recettes par cœur: crêpes, pancakes, mug'cake au chocolat, mug'cookie, etc.). Je fais par ailleurs toujours une petite commande de biscuits sur Allergora avant de partir, pas terribles mais je ne peux pas me passer de goûter...

Crêpes au cacao avec bananes caramélisées et pépites de chocolat,
on a connu pire comme petit-déj^^

Et voilàààà, vous savez tout!

5 mars 2014

Vadrouilles dans le sud (et un peu la côte est)



On a bien fait de déambuler longuement dans l'effervescence de Port Louis et la tranquillité des belles allées ombragées de Pamplemousses, car s'en est ensuivi un cyclone nous empêchant de vadrouiller! C'est la dame d'une échoppe qui nous a avertis, on n'y croyait pas trop jusqu'à ce qu'on aide des pêcheurs en train de tirer les bateaux sur le sable qui nous ont confirmé la bonne nouvelle...On s'en est bien sorti car finalement il y a eu une seule journée où on n'a rien pu faire tant il pleuvait et ventait (on en a profité pour aller au cinéma!); c'est surtout la Réunion qui a été violemment touchée. M'enfin c'est quand même pas de bol car les cyclones sont apparemment rares à Maurice...

Qu'est-ce qu'on fait quand on ne peut pas vadrouiller? On se prépare de bonnes choses à manger à la maison pour se consoler :p 
Ici un gloubi-boulga de crêpes, bananes caramélisées et chocolat...


Après avoir constaté que les routes mauriciennes se prêtaient bien à la conduite de scooter, on a décidé de pousser dans le sud. Plus de deux cents bornes dans la journée en traçant sur l'autoroute (110 km/h en position aérodynamique!), on s'est fait plaisir mais on avait sacrément mal au c... en rentrant! On a commencé par se rendre à Grand Bassin, un lieu de culte pour les hindous. La légende raconte en effet que Shiva qui transportait le Gange sur sa tête renversa plusieurs gouttes d'eau, celles-ci se transformant alors en lac sacré. Les rives sont bordées de temples hindous qui accueillent plusieurs pèlerinages et fêtes chaque année.

 L'immense statue de Shiva qui fait près de trente mètres de haut!




Initialement on avait prévu de se faire une petite rando dans le Black River Gorges National Park. Mais après avoir constaté le gros problème de balisage à Tamarin, on était un peu refroidis....Ajouté à ça qu'on était un peu juste niveau temps pour faire tout ce qu'on avait prévu dans la journée, on a seulement profité du paysage et de la pureté de l'air en empruntant la belle petite route de Plaine Champagne qui traverse le parc. C'était agréable comme tout. On en a profité pour aller voir la cascade d'Alexandra, qui ne vaut pas franchement le détour mais tant qu'on y était!
 



Après ça direction Chamarel. Alors là ça a été la grosse déception! Je me doutais que ce serait touristique mais pas à ce point...On a failli rebrousser chemin, mais vu le trajet qu'on s'était tapé on a quand même décidé de le faire malgré les hordes de touristes. Le site des sept couleurs est une petite étendue de terre caractérisée par des variations chromatiques: il y a du rouge, de l'ocre, du violet, du marron, de l'orange, etc. C'est très joli mais on est à la queue leu leu avec le genre de touristes qui bouge de son transat une fois dans tout le séjour. Comprenez les beaufs rougis par les coups de soleil, la graisse flageolante, l'essoufflement à la limite de l'asphyxie après avoir marché trois mètres, et qui vous font profiter de leurs traits d'esprit sans complexe. Je sais, je suis méchante et j'exagère, mais pour le coup c'était vraiment un florilège assez caricatural de touristes qu'il nous a été donné d'observer ici (pour info le site des vingt-trois couleurs est apparemment beaucoup moins fréquenté).







On peut également admirer la cascade de Chamarel qui fait une bonne centaine de mètres de hauteur. C'est magnifique mais on était déçus car il y avait juste un point de vue, on ne pouvait pas du tout se balader.

 


Craignant de manquer d'essence pour le retour, on se met en quête d'une station-service. Le premier type à qui on demande de nous indiquer la station la plus proche nous assure qu'il y en a une à quatre kilomètres environ. Parfait! On roule, on roule, mais on ne voit toujours rien....Du coup on redemande à des gens qui nous confirment qu'on est dans la bonne direction. Mouais, tout ça ça n'inaugure rien de bon, au final on se retrouve à descendre une montagne, on gagne la côte où on admire au passage le très beau panorama du Morne Brabant, mais toujours pas de station à l'horizon! Tous les gens qu'on croise nous disent "Si, si, dans trois cents mètres!". Eh bien croyez-le ou non, au final les quatre kilomètres du départ se sont transformés en quarante kilomètres!!! Hallucinant, les Mauriciens -et pour le coup on a demandé à une bonne dizaine de personnes- ont clairement un gros problème d'évaluation de distance, encore heureux qu'on n'était pas en rade...Pour le coup on était vénères, mais comme à toute chose malheur est bon, on en a profité pour rentrer par la côte. C'était magnifique, on s'est même arrêtés à la ville balnéaire de Flic en Flac qui nous a grandement rappelé notre Grand Baie.




De la côte est on n'aura pas vu grand-chose. On s'est juste baladés un peu, mais à cause des averses on n'a pas poussé plus loin que le pittoresque village de pêcheurs de Poudre d'Or. En tous les cas, l'est de l'île est préservé des touristes, c'est assez sauvage. On a bien rigolé en passant à Goodlands; chaque ville se voit associé un thème (pour Grand Baie c'est le respect, on a croisé la courtoisie, la compréhension, etc.) et voyez un peu de quoi ont écopé les pauvres habitants de cette bourgade:



 Aux alentours de Poudre d'Or
 Une dernière vue sur les champs de canne à sucre avant de repartir à Paris...


5 févr. 2014

Vadrouilles à Port Louis et Pamplemousses



Après cette mémorable journée de vadrouille dans les chutes de Tamarin, on a fait des trucs un peu plus pépères. Port Louis n'étant pas très éloigné de l'appart, on y est passés plusieurs fois. Une fois encore, j'ai eu mon lot de surprises: je pensais que ce serait une grande ville sans charme pleine de touristes, alors qu'en fait on a vraiment l'impression d'être au cœur de la culture mauricienne. On est littéralement saisis par les couleurs, les odeurs, les bruits et les ambiances! Le moderne côtoie le traditionnel, le quartier chinois est à deux pas de la mosquée Jummah, et les cocotiers mettent un peu de verdure dans des rues bondées.

Si le Caudan Waterfront est parfait pour s'extraire de la moiteur de la ville et faire un peu de shopping, c'est avant tout le fameux marché central qui vaut le coup (ouvert toute la journée en semaine). Il y a différentes ambiances mais en tous les cas c'est un marché fréquenté avant tout par les locaux, donc idéal pour observer un peu la vie mauricienne. Un seul bémol : agoraphobes s'abstenir! D'ordinaire je ne suis pas incommodée par la foule, mais du côté des étals posés à même le sol c'était du délire. Vous êtes littéralement le nez dans le cou de votre voisin de devant et collé par votre voisin de derrière...Tout ça au son des cris des vendeurs et de la musique sega assourdissante! Après avoir remonté cinquante mètres comme ça on en a eu marre et on est partis dans les petites rues adjacentes (la quartier chinois est juste à côté).









Un drôle de bric-à-brac dont on se demande si tout est vraiment à vendre...
Il y a aussi quelques boutiques pour les touristes, on y trouve de très jolis paniers

Les halles couvertes des poissons et des viandes sont comme toujours plus intéressantes à faire le matin. L'odeur est saisissante, âmes sensibles s'abstenir!

Après avoir longuement déambulé dans les rues, on a été se prendre un verre du côté de Caudan Waterfront. Le contraste entre le marché et l'ambiance au bord de l'eau était saisissant; ça faisait du bien de se reposer un coup!



Le jardin Pamplemousses (initialement dénommé jardin botanique de Sir Seewoosagur Ramgoolam, le "père de la nation mauricienne", ancien premier ministre sous lequel l'Ile Maurice accéda à l'indépendance du Royaume Uni) est considéré comme l'un des sites incontournables de l'île. Ce n'est pas le plus beau jardin botanique que j'ai fait mais il est très sympa. C'est agréable de se balader dans les grandes allées et de sentir la fraîcheur des plans d'eau disséminés de-ci de-là. En plus j'étais étonnée car il n'y avait presque personne, donc c'était bien calme (on y a été le matin assez tôt).



 

  

 
 Une histoire de pieds...
 






Le bassin des nénuphars est particulièrement joli; l'une des espèces peut atteindre apparemment deux mètres de diamètre et supporter le poids d'un enfant! Bon moi j'ai pas tenté de m'assoir dessus car je l'ai troué juste en appuyant un peu avec les doigts...


 


 


Jamais sans mon Lonely! (et mon sac moche trop pratique :p)


La suite:  comment on a découvert un curieux travers des Mauriciens!